Censure sous couvert de sécurité : Israël serre la vis de sa politique d’apartheid

Dans un nouveau tour de force législatif, Israël brandit le bâton de la censure contre les palestiniens. Le comité législatif de la Knesset a entrepris la rédaction d’un projet de loi qui mettrait des mots comme « martyr » et « Allahu Akbar » dans le même sac que le terrorisme. Tout post sur les réseaux sociaux incluant ces expressions ou des versets coraniques pourrait bientôt valoir à son auteur une accusation d’incitation au terrorisme. Une nouveaux tour de vis dans sa politique d’apartheid.

Cette mesure draconiennes est vendue comme un bouclier contre le terrorisme, mais est en réalité à un marteau pilon écrasant la liberté d’expression des Palestiniens. En assimilant des termes religieux et culturels à des actes de violence, Israël non seulement stigmatise une entière communauté mais risque aussi d’enflammer davantage les tensions déjà vives.

Mais ce n’est pas juste une restriction de mots, mais une tentative de criminaliser une culture et une religion sous couvert de sécurité nationale. C’est une politique raciste et d’apartheid vaguement déguisé en politique anti-terroriste.

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