Selon les rapports émanant du Times et corroborés par Channel 14, des mandats d’arrêt imminents menacent le Premier ministre israélien, le ministre de la Défense Yoav Gallant, et le chef d’état-major Herzl Halevi. Ces annonces interviennent alors que Netanyahu, dans une tirade sur Twitter, dénonce avec véhémence l’audace de la CPI, clamant que sous sa direction, « Israël n’acceptera jamais » les tentatives de la Cour de restreindre son « droit de légitime défense. »
Ces mandats d’arrêt semblent jeter un pavé dans la mare, provoquant une crise de légitimité pour les dirigeants d’Israël, tout en posant un défi sérieux pour les nations occidentales signataires du Statut de Rome, tenues d’agir en conséquence. Le spectre de la justice internationale s’étend désormais large, mettant en lumière les tensions entre la soi-disant « seule démocratie du Moyen-Orient » et les normes du droit international. La scène est prête pour un affrontement judiciaire qui pourrait redéfinir les relations internationales au Proche-Orient.