« Pour le lancement de son club sur les « industries de main-d’œuvre et de savoir-faire », le cabinet d’affaires publiques a organisé une réunion entre lobbyistes et parlementaires dans les locaux de l’Assemblée nationale. Une pratique strictement interdite depuis 2016. »
La version officielle de cette affaire sera certainement un « soucis technique », ou encore une « maladresse », un « oubli » des règles. Quant aux conséquences juridiques d’un cas évident de tentative de corruption parlementaire, on leur dira « c’est pas bien ! ». Mais avec les sourcils froncés, là on est sur qu’ils ne feront plus de bêtises !