Le Parlement bruxellois dénonce un génocide et exige des mesures concrètes

Le Parlement bruxellois vient d’adopter une résolution historique : sanctions contre Israël pour ses massacres à Gaza et en Cisjordanie, qualifiés de génocidaires. Une première à l’échelle mondiale. Sous la pression des manifestations massives, la gauche bruxelloise (PTB, PS, Ecolo, Groen) passe à l’action.

Les mesures sont claires : plus d’exportations d’armes, plus de missions économiques tant que les crimes de guerre continuent, plus de subventions aux entreprises complices de la colonisation. Bruxelles demande au fédéral et à l’UE de suspendre l’accord d’association avec Israël et d’imposer des sanctions économiques et politiques.

Face à ce texte, la droite (MR, DéFI, Les Engagés, CD&V, N-VA) joue la carte de l’abstention lâche, incapable d’assumer que le droit international n’est pas une option.

Cette résolution n’est pas qu’un symbole. Alors que l’ONU et la Cour internationale de Justice durcissent le ton, Bruxelles pourrait ouvrir la voie à des actions plus larges en Europe. Le vent tourne, et l’impunité israélienne vacille.