Visiblement mal à l’aise, il s’est abstenu de condamner l’assassinat de deux ressortissants français après les bombardements sionistes au Liban.
Il a ainsi coupé court aux questions des journalistes tout en se permettant de donner des leçons à la résistance.
“Pourquoi la France parle de ressortissant français qui meurent dans des explosions, et pas dans des bombardements [….] pourquoi la France ne condamne pas avec clarté la mort de civils dans les frappes aériennes ?.”