Les peuples premiers brésiliens ont installé un camp dans la capitale du pays pour appeler le président Lula à tenir ses promesses de campagne visant à protéger leurs terres et à lutter contre la déforestation.
Bien qu’il y ait eu une réduction de l’exploitation forestière illégale et la reconnaissance de nouveaux territoires autochtones, les manifestants souhaitent que ce processus soit accéléré, soulignant qu’il y a encore 251 demandes de communautés autochtones pour que leurs terres soient reconnues.
Le « Free Land Camp » sera en place jusqu’à ce vendredi, occupant un espace dans la capitale.