Trump impose sa croisade anti-diversité aux entreprises françaises qui veulent faire du business avec les youesses

Coup de tonnerre dans les milieux économiques français : l’ambassade des États-Unis à Paris a exigé de plusieurs entreprises françaises qu’elles se plient à la politique anti-DEI (Diversité, Équité, Inclusion) de l’administration Trump pour pouvoir accéder à des contrats fédéraux.

Dans un courrier signé par Stanislas Parmentier, haut fonctionnaire de l’ambassade, les firmes tricolores se voient intimer de signer sous cinq jours un formulaire de conformité au décret 14173, qui interdit toute politique de discrimination positive en faveur des minorités ou des femmes. Mot d’ordre : le “mérite”, version trumpiste.

L’affaire, révélée par Les Échos et confirmée par Le Monde, fait grand bruit. Plusieurs grands groupes, notamment dans la tech et l’industrie, s’interrogent sur les conséquences légales, éthiques et politiques d’un tel diktat étranger.

En pleine guerre culturelle importée de Washington, le trumpisme franchit un cap : l’extraterritorialité de ses dogmes ultraconservateurs. Et Paris, sous le choc, découvre que même la diversité est devenue un champ de bataille diplomatique.