À table avec les puissants : le menu politique des socialistes et leurs alliés

Voici un petit cours de cuisine politique : prenez un ancien président français, ajoutez une pincée de soutien à Glucksmann, mélangez avec un dîner complice en compagnie de Benjamin Netanyahu, et vous obtenez la recette parfaite pour saboter toute reconnaissance de l’État palestinien.

Oui, voter pour Glucksmann, c’est approuver le menu complet : refus de dénoncer un génocide, et toast à la santé du boucher Netanyahu. Appétissant, n’est-ce pas?

Mais ne vous y trompez pas, les alternatives sont tout aussi rances. Que ce soit EELV ou le PCF, choisir ces saveurs c’est revenir au bon vieux Hollandisme, cette mère nourricière du Macronisme, avec son bouquet garni de politiques néolibérales et liberticides. Dans l’isoloir, souvenez-vous bien de leur menu : privatisations, réformes des retraites, et un festin de concessions faites sur le dos du peuple au profit du grand capital.

Alors, toujours envie de passer à table et de servir votre voix sur un plateau d’argent aux maîtres de cette mascarade électorale? Voter, c’est abdiquer; c’est donner le sel pour assaisonner votre propre soupe à la grimace. Si l’idée de déléguer votre pouvoir à ces chefs cuisiniers du désastre vous laisse un goût amer, pourquoi ne pas garder votre sel et perturber la recette? Après tout, abdiquer n’est pas notre goût. Pour ceux qui refusent d’être les ingrédients d’un festin pour oligarques, il y a d’autres façons de cuisiner le changement. Grève Générale !

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