La dette et L’austérité selon Barnier: Une bonne excuse pour finir de détruire la République sociale

On nous prend vraiment pour des cons avec cette histoire de dette publique. À chaque fois, c’est le même refrain : « Y’a plus de thunes, faut serrer la ceinture ». Et qui trinque à chaque fois ? Toujours les mêmes.

Au programme : 4 000 profs virés, des hôpitaux qui tombent en ruine, des services publics à bout de souffle, pendant que les ultra-riches se gavent. Mais en réalité, cette dette, c’est juste leur alibi bidon pour détruire tout ce qu’il reste encore de justice social. Ils nous servent le discours du sacrifice, mais c’est toujours aux mêmes qu’on demande de faire les efforts.

Sous prétexte de « responsabilité budgétaire », on taille à la hache dans tout ce qui fait tenir la baraque : éducation, santé, protection sociale. Ils nous disent qu’on vit au-dessus de nos moyens, mais bizarrement, les cadeaux fiscaux pour les grosses boîtes et les copains milliardaires, eux, ne bougent jamais. Les exonérations de cotisations patronales pleuvent, les niches fiscales restent bien au chaud, et les ultra-riches se frottent les mains. Pendant que nous, on rame pour boucler les fins de mois, eux, ils naviguent sur un océan de privilèges. On est bons qu’à payer les pots cassés, pendant que les responsables se pavanent sans jamais rendre de comptes.

Le coup de la dette pour nous entuber

La dette, c’est devenu leur joker ultime pour nous enfoncer l’austérité jusqu’à la moelle. Ils nous baratinent avec leurs beaux discours sur la nécessité de « sauver les finances publiques », mais en réalité, c’est juste pour nous faire avaler la pilule de leurs réformes destructrices. Chaque coup de rabot dans les services publics, c’est un morceau de nos droits qui part en fumée. Et pendant ce temps-là, les riches, eux, continuent à se la couler douce, planquant leurs millions dans les paradis fiscaux sans même payer leur juste part d’impôts. Et nous, on devrait accepter sans broncher de se faire plumer pour « sauver » une économie qui ne profite qu’à eux ?

Le pire, c’est que tout est fait pour que ce système continue de tourner à l’avantage des plus riches. Ils nous balancent de temps en temps une soi-disant « contribution exceptionnelle » sur les grosses entreprises, histoire de calmer les esprits et faire passer la pilule. Mais c’est du pur pipeau. Ces mesures sont temporaires, du vent pour la galerie. Leur vrai plan, c’est de démanteler tout ce qui nous protège encore – les services publics, la protection sociale – pour ensuite filer tout ça aux copains du privé. Et ils utilisent la dette comme une arme, un prétexte pour justifier la casse sociale. En réalité, ils verrouillent le système pour que rien ne change, et pour qu’eux seuls en profitent.

Ce qu’ils sacrifient, c’est notre avenir. Celui de nos enfants, de nos anciens, des plus fragiles. Tout ce qui faisait la force de notre République sociale, ils sont en train de le vendre au plus offrant. Les hôpitaux, les écoles, tout est en train de sombrer parce qu’on préfère protéger les profits des actionnaires plutôt que de réinvestir dans le bien commun. Et le plus scandaleux, c’est qu’ils veulent nous faire croire qu’il n’y a pas d’autre choix, que c’est inévitable. Mais c’est du flan, une vaste arnaque. Tout est une question de priorités. Ils pourraient taxer les plus riches, fermer les échappatoires fiscales, mais non. Ils ont choisi. Leur priorité, c’est de protéger les plus riches, quitte à laisser le reste de la population se démerder dans un système en ruine.

Et ça, ils essaient de nous le faire avaler avec leurs discours lénifiants sur la dette. Mais derrière tout ça, il n’y a qu’une vérité : ils nous vendent à la découpe, morceau par morceau, pendant qu’ils protègent leur caste. C’est ça, la réalité de la dette publique.

Nous suivre