Agriculture Intensive : l’agro-industrie et les grands propriétaires terriens tuent nos enfants en toute impunité

Dans les campagnes françaises, on ne parle pas assez des vrais criminels. En Charente-Maritime, à Périgny, près de La Rochelle, des traces de pesticides interdits ont été retrouvées dans l’organisme de plusieurs enfants.

Ces substances, bannies depuis des années, continuent de contaminer les sols et d’empoisonner les habitants, particulièrement les plus jeunes. Le résultat ? Des cancers pédiatriques qui explosent, des familles en deuil, et une indifférence générale.

Et qui sont les coupables ? L’agro-industrie et les grands propriétaires terriens qui, malgré les interdictions, continuent de balancer leurs poisons chimiques dans les champs. Des saloperies comme le chlordécone, interdit en 1990, mais toujours présentes dans nos terres, ou des pesticides comme les néonicotinoïdes, qui détruisent les écosystèmes et les vies humaines.

Entre 2010 et 2020, les cancers pédiatriques ont augmenté de 40 % en France. À Périgny, des enfants tombent malades, et personne ne veut en parler. Les autorités sanitaires ? Aux abonnés absents. L’ARS, qui devrait protéger la population, ferme les yeux. Pendant ce temps, ces criminels en col blanc, bien planqués derrière leurs champs et leurs millions, continuent de s’enrichir en détruisant la vie des autres.

Des études montrent que près de 80 % des enfants vivant en zone rurale ont des traces de pesticides dans le sang. Et l’État, au lieu de sévir, protège ces gros bonnets, préférant le profit à la santé publique. Pendant que nos gosses tombent malades, ces assassins continuent de s’engraisser, protégés par un système complice qui préfère fermer les yeux. Ils ne seront jamais jugés pour leurs crimes, mais nous, on continue de payer la note, au prix de nos vies et de celles de nos enfants.

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