Le président de la République, sans vergogne, accorde des entretiens exclusifs à des magazines dont les condamnations pour provocation à la discrimination, la haine ou la violence sont aussi nombreuses que les fautes de goût de ses conseillers en communication. Mais ne nous arrêtons pas là. Il apporte également son soutien à des éditocrates dont le palmarès inclut des condamnations pour incitation à la haine contre les musulmans. Un exemple éclatant de la manière dont il banalise le discours de l’extrême droite.
Politique brutale et répression stupéfiante
Pendant ce temps, Macron, accompagné de ses ministres au cœur de pierre, impose des politiques aussi brutales qu’inefficaces, creusant les inégalités et exacerbant les tensions sociales. Pour couronner le tout, sa réponse aux manifestations et aux protestations est une répression d’une violence inouïe. Les gaz lacrymogènes, les grenades de désencerclement et les matraques sont devenus les outils préférés de ce gouvernement pour gérer les voix dissidentes.
Macron, fourrier du fascisme
En agissant de la sorte, Emmanuel Macron ne se contente pas de flirter avec les idées de l’extrême droite ; il en pave carrément la voie. Son autoritarisme et ses politiques répressives sont autant de préparatifs pour un éventuel avènement fasciste en France. Par sa gouvernance, il prépare le terrain à un régime encore plus autoritaire, démontrant à quel point il est un agent de la montée en puissance de l’extrême droite.
Il est impératif de prendre conscience de cette dérive autoritaire. Macron ne défend pas la République ; il en déforme les valeurs pour servir ses propres intérêts politiques, au détriment de l’humanisme et du progressisme. Sa complicité avec les fauteurs de haine et son recours à la violence d’État montrent qu’il n’est pas le rempart contre le fascisme qu’il prétend être, mais plutôt l’un de ses principaux facilitateurs.