Les souffrances des Palestiniens au centre de l’attention médiatique après huit mois d’invisibilation !

Pendant huit longs mois, Gaza a été laissée dans l’obscurité, étouffée par un blocus impitoyable qui a privé ses habitant·es non seulement des nécessités les plus élémentaires mais aussi honteusement invisibilisé leurs souffrances.

Et soudain, comme par magie, la solidarité des média mainstream avec le peuple palestinien refait surface et semble créer un nouveau narratif. Mais où étaient donc tous ces défenseurs de la justice pendant tout ce temps ?

Quelle ironie, n’est-ce pas ? Les mêmes médias et leaders d’opinion qui ont sciemment ignoré les souffrances de Gaza pendant des mois, voire des années, lèvent maintenant l’étendard de la solidarité. Doit-on les féliciter pour cette prise de conscience tardive ou simplement les démasquer pour ce qu’ils sont : des hypocrites préoccupé·es par leur propre image plus que par la justice ?

Et que dire des politicien·nes, ces opportunistes qui n’hésitent pas à exploiter la détresse humaine pour gagner quelques voix de plus. Leurs discours, aussi vides que leur compassion, résonnent avec une fausseté qui devrait nous indigner. Car oui, ignorer une injustice, c’est la perpétuer. Alors, chers hypocrites, prenez note : votre réveil soudain ne nous impressionne pas. Nous continuerons à dévoiler vos contradictions et à tenir les puissants responsables de leur complicité dans le silence et l’inaction.

Rappelons les faits : des mois de bombardements incessants, des dizaines de milliers de civils innocents assassiné ou atrocements mutilés, des restrictions draconiennes sur les fournitures médicales et alimentaires, des violations flagrantes des droits de l’homme. Une réalité atroce que beaucoup ont préféré ignorer. Trop occupé·es à protéger leur confort moral pour se salir les mains avec des vérités gênantes sûrement…

Mais pour les militant·es pour la paix, le silence n’a jamais été une option. Malgré la censure, les violences policières, les accusations illégitimes, nous avons toujours refusé de détourner le regard quand l’injustice frappait. Suivant la devise de notre chère Louise, nous serons toujours du côté des plus faibles. Notre solidarité ne connaîtra jamais ni frontières ni limites. Nous seront toujours aux côtés de tou·tes ceux·celles qui luttent contre l’oppression, qu’ils·elles soient à Gaza, en Syrie, ou dans les rues de nos propres villes.

Alors que la solidarité avec Gaza devient enfin une réalité, nous, militant·es pour la paix, devont continuer à défier les narratifs préfabriqués enfin de lutter pour un monde où la justice et la dignité prévalent pour tou·tes, pas seulement pour quelques privilégié·es.

Notre lutte pour la vérité et la justice ne s’arrêtera pas ici. Nous resterons déterminé·es, et intransigeant·es dans notre quête pour un monde où chaque vie compte, et où chaque injustice est combattue avec la férocité qu’elle mérite. Gaza, nous ne te lâcherons pas!

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