Barnier, le pantin de Macron, promet la lune et nous prépare la casse

Michel Barnier, nouveau Premier ministre du gouvernement de droite dure, a fait son show sur France 2, alignant les belles paroles et les promesses creuses

Mais derrière le vernis, c’est toujours la même politique de casse sociale. Le type se dit ” rempart ” pour préserver les droits acquis sur l’IVG, la PMA et les droits LGBT ? Tu parles ! Avec un gouvernement truffé de conservateurs issus de “la manif pour tous”, il faudra plus qu’une promesse à la télé pour protéger les avancées sociales.

Côté impôts, Barnier nous la joue grand seigneur : ” Pas d’augmentation pour les classes moyennes “. Mais attention, il laisse la porte ouverte pour taxer un peu plus les plus riches. Ça sonne bien, sauf que ça sent le coup de com’ pour faire passer la pilule des futures coupes budgétaires qui vont saigner les services publics.

Sur les retraites, c’est le retour du grand blabla : il parle de ” faire confiance aux partenaires sociaux ” pour ” améliorer la loi “. Traduction ? On ne change rien et on continue de nous vendre cette réforme pourrie qui repousse l’âge de départ. Quant à l’immigration, Barnier en rajoute une couche sur la ” fermeté “, histoire de faire plaisir à son électorat de droite. Fermeté, mais ” humanité “, hein, on n’est pas des monstres… La bonne blague ! Il promet de nouvelles mesures encore plus restrictives, tout en lorgnant sur la suppression de l’aide médicale d’État. Autant dire que c’est la chasse aux pauvres qui est ouverte.

Et pour finir, il annonce la ” santé mentale ” comme grande cause nationale en 2025. Pourquoi pas, sauf que dans les faits, la psychiatrie est en ruine, les postes de soignants sont vides et les patients abandonnés. Encore une promesse en l’air, pendant que le bateau coule.

Bref, Barnier nous sert le même vieux plat réchauffé : austérité, répression et démagogie. Le pire ? C’est qu’il pense qu’on va gober ses discours de ” compromis dynamique “. En réalité, c’est toujours le même programme : protéger les riches et faire payer les autres. On est prévenus, la droite dure n’est pas là pour blaguer.

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