Il fut un temps où Emmanuel Macron se rêvait en Jupiter, maître des horloges, visionnaire de la « start-up nation ». Aujourd’hui, il n’est plus qu’un président isolé, entouré de courtisans qui n’osent même plus lui tenir tête, naviguant dans les effluves de whisky et les éclats douteux d’un palais à la dérive.
L’économie en lambeaux, la pauvreté en flèche
Pendant que les Français peinent à boucler leurs fins de mois, les milliardaires proches du pouvoir s’enrichissent à des niveaux jamais vus dans l’histoire. Le pays croule sous la pauvreté, les services publics s’effondrent, et les inégalités explosent. Mais qu’importe : dans la bulle dorée de l’Élysée, le chef de l’État et ses proches se permettent des propos d’une vulgarité rare. Racisme ordinaire, homophobie crasse, tout y passe. Selon Le Monde, Macron aurait qualifié les Noirs et les Arabes de » Mamadou » et de » rabzouz « , et comparé Matignon à la » cage aux folles « .

Un gouvernement recyclé et décrié
Le tableau du gouvernement Bayrou n’arrange rien. Celui qui a forcé la main au président pour devenir Premier ministre a repris les mêmes recettes usées : Darmanin, Borne, Lecornu, Bergé, et même le revenant Manuel Valls, accueilli par un auditeur qualifiant sa nomination de « cadeau empoisonné ». Ajoutez Rachida Dati, mise en examen pour corruption, et Amélie de Montchalin, battue sèchement aux législatives, et vous obtenez un casting digne d’un mauvais remake.
Le mécontentement gronde. 66 % des Français rejettent déjà François Bayrou, un record d’impopularité historique pour un Premier ministre fraîchement nommé. Et dans ce chaos, un porte-parole du MoDem a même évoqué l’éventualité de l’article 16, offrant les pleins pouvoirs au président. Une menace qui en dit long sur la panique qui règne à Matignon et à l’Élysée.
Fin de règne et implosion sociale
Alors que la colère sociale monte et que la pauvreté s’intensifie, Emmanuel Macron s’accroche à son fauteuil comme un naufragé à un radeau. Mais ce radeau prend l’eau de toutes parts. Le rejet massif de sa politique, l’arrogance de ses ministres, et l’enrichissement indécent des plus riches au détriment des travailleurs annoncent une année 2025 sous tension.
En clair, le règne de Macron n’est plus qu’un crépuscule sinistre, symbole d’un pouvoir coupé du réel, qui sacrifie le peuple sur l’autel des intérêts de quelques-uns. Une fin de partie qui laisse un goût amer et des ruines en héritage.