Glucksmann evincé : La gauche répudie les social-traître

Le Premier Mai à Saint-Étienne a vu le rejet spectaculaire de Raphaël Glucksmann, chassé sous les huées des militants. Cet épisode met en lumière l’isolement grandissant des figures politiques qui, sous couvert de progressisme, trahissent les intérêts des classes qu’ils prétendent servir.

La comédie du socialisme : Un acte tragique

Le Parti Socialiste, dont Glucksmann se veut le héraut, a longtemps joué le rôle du protecteur des travailleurs. Pourtant, son bilan raconte une tout autre histoire, faite de trahisons et de concessions au néolibéralisme qui ont dilapidé la confiance et vidé le parti de sa substance révolutionnaire.

L’Hypocrisie de glucksmann et compagnie

Comment Glucksmann, apôtre de la fausse gauche, peut-il prétendre représenter les opprimés, alors que son propre parti a été l’architecte de politiques qui ont démantelé les protections ouvrières, soutenu des projets destructeurs pour l’environnement, et muselé la contestation ? L’ironie de son expulsion d’une manifestation dédiée aux droits des travailleurs ne pourrait être plus cinglante.

Les crimes du parti socialiste : Une liste accablante

Sous Hollande, avec Glucksmann comme l’un des conseillers, le PS a imposé la Loi Travail, généralisé l’usage du LBD, et soutenu des politiques qui ont directement contribué à l’affaiblissement du tissu social français. De la répression brutale des manifestations à l’octroi du CICE aux entreprises sans contreparties tangibles, le parti a montré son vrai visage : celui d’un traître aux classes qu’il prétend défendre.

Le Premier Mai à Saint-Étienne : Un Symbole Puissant

Le rejet de Glucksmann n’est pas simplement un fait divers croustillant pour les médias; il est symptomatique d’un ras-le-bol généralisé. Les militants ne sont plus dupes : ils reconnaissent leurs ennemis, même déguisés en alliés. Et dans une ville comme Saint-Étienne, marquée par des luttes sociales acharnées, l’indignation envers ceux qui ont trahi les promesses de justice et d’égalité est palpable et justifiée.

Le réveil de la gauche

L’incident de Saint-Étienne doit être un signal d’alarme pour tous les prétendus leaders de gauche. La patience des opprimés a ses limites. Les travailleurs demandent des comptes, et ils sont prêts à chasser ceux qui les ont trahis. Pour Glucksmann et ses semblables, il est temps de réaliser que leurs manœuvres politiques ne les sauveront pas du jugement populaire.

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